L’ intérêt constant de Spinoza pour la science n’a rien de ponctuel et d’extérieur à l’oeuvre. Bien au contraire, les catégories de sa philosophie de l’homme, de ses passions et de sa liberté, se nourrissent de la science nouvelle, telle qu’elle apparaît dans la première moitié du xviie siècle. En particulier la notion de « mode » qui sert ici de fil conducteur doit être comprise dans ce contexte de transformation, essentiellement l’introduction de l’algèbre et la réflexion sur l’infini. Un nouveau cadre d’analyse peut alors être mis en place, renouvelant l’analyse du désir dont Spinoza fait l’essence de l’homme.Les variations du désir peuvent donner lieu à une authentique science, une véritable géométrie des passions humaines. Les principes en sont exposés dans l’Ethique.
-
Christophe Le Digol, Virginie Hollard, Christophe Voilliot, Raphaël Barat Histoires d’élections
-
Aïcha Liviana Messina L’anarchie de la paix
-
Pierre-André Taguieff « Race » : un mot de trop ?
-
Jean Baumgarten, Irène Rosier-Catach, Pina Totaro Spinoza, philosophe grammairien
-
Béatrice Joyeux-Prunel, Guillemette Crozet L’art contemporain
-
Patrice Lajoye Aux origines d’Arsène Lupin
-
Victor Collard Pierre Bourdieu
-
Jean-Michel Gibert Les couleurs du vivant
- Anthropologie et mondes contemporains
- Arts et essais littéraires
- Biologie et santé
- Chimie
- Écologie, environnement, sciences de la Terre
- Économie, droit
- Géographie, territoires
- Histoire
- Histoire des sciences
- Linguistique
- Livres audio
- Mathématiques
- Non classé
- Philosophie et histoire des idées
- Physique et astrophysique
- Préhistoire
- Relations internationales
- Revues
- Sciences de l'ingénieur
- Sciences politiques et sociologie
- Sciences religieuses
- Société
- Jeunesses françaises contemporaines
-
Victor CollardPierre Bourdieu
-
Béatrice Joyeux-Prunel, Guillemette CrozetL'art contemporain
-
Dipesh ChakrabartyUne planète, plusieurs mondes