Temples perdus

Temples perdus

Et Henri Mouhot découvrit Angkor

20,00 (Disponible en numérique)

En 1863, la revue Le Tour du Monde publie en feuilleton l’intégralité des carnets d’un botaniste, Henri Mouhot, enflammant l’imagination des lecteurs du Second Empire.

Aucun autre récit d’explorateur du XIXe siècle n’aura un tel impact sur les mentalités et sur la politique coloniale du gouvernement français. La description que fait Mouhot des temples d’Angkor devient un instrument idéal pour ouvrir la porte à la colonisation dans cette région du globe. La nécessité de sauvegarder ces ruines grandioses devient un argument de poids, et Angkor le symbole de la politique coloniale.

Mais qui était Henri Mouhot ? Parti seul en 1858, sans soutien financier, il traverse les vastes régions de pays inexplorés, avec l’idée de remonter aux sources du Mékong. Il récolte quantité d’informations précieuses sur les tribus oubliées, les civilisations inconnues, la faune, la flore, les coutumes, les cérémonies, les marchés… et les temples d’Angkor. Un parcours inouï, fabuleux, éreintant, à l’issue duquel il trouvera la mort.

Claudine Le Tourneur d’Ison retrace cet incroyable périple.

9782271079275
17/10/2013
174
14.0 x 22.0 cm

« Claudine Le Tourneur d’Ison consacre un récit très littéraire. »

Livres Hebdo, le 4 octobre 2013.

 

« Au XVIe siècle, des voyageurs espagnols et portugais décrivaient la grandeur intacte d’une cité moribonde. Mais c’est bien à la publication posthume des carnets de voyage de Mouhot, en 1863, que le monde occidental doit sa connaissance des ruines grandioses. »

Le Figaro Histoire, décembre – janvier 2014.

 

« Débordant son titre, son livre va bien au-delà de la découverte d’Angkor, le rendant encore plus intéressant. Certes, un chapitre relate la visite approfondie des ruines. »

Habib Tawa, Afrique – Asie, janvier 2014

 

« Un parcours inouï, fabuleux, éreinant, à l’issue duquel il trouvera la mort. Claudine Le Tourneur d’Ison retrace cet incroyable périple. »

Ouest France, 28 décembre 2013

 

« En 1863, la revue Le Tour du Monde publie l’intégralité des carnets d’un botaniste, Henri Mouhot, enflammant l’imagination des lecteurs du Second Empire. La description par Mouhot des temples d’Angkor devient un instrument idéal pour ouvrir la porte à la colonisation dans cette région du globe. Parti seul en 1858, sans soutien financier, il traverse les vastes régions de pays inexplorés, avec l’idée de remonter aux sources duMékong. ll récolte quantité d’informations précieuses sur les tribus oubliées, les civilisations inconnues, la faune, la flore, les coutumes et les temples d’Angkor. Un parcours inouï à l’issue duquel il trouvera la mort.  Claudine Le Tourneur d’Ison retrace cet incroyable périple. »

Horizons Mayenne, décembre 2013/janvier 2014.

 

« L’ouvrage est donc plutôt un récit romance et commente du périple d Henri Mouhot, un texte agrémente de nombreuses citations des
carnets qui, s il ne fait complètement revivre la figure de Mouhot, n’en est pas moins le temoignage des capitales et dernieres annees
de sa vie. »

Archéologia, février 2014

 

« Le grand tour » de Patrick de Carolis sur France 3, avec pour thème « Du royaume de Siam aux temples d’Angkor », sur les traces de l’exploration Henri Mouhot, a été diffusé le 16 avril 2014 à 20h45.

 

« Un ouvrage bien écrit, très agréable à lire, qui donne vie à ce Montbéliardais mort dans la quasi-indifférence en Asie : sacrifice qui ouvrira la voie à d’autres expéditions scientifiques, à la création de l’Ecole française d’Extrême-Orient et à la sauvegarde et à la valorisation du temple d’Angkor. »

Jean-Pierre Toni, Metamag, 21 mai 2014

 

« La restitution de ce parcours prend une valeur ethnographique, humaine mais aussi historique car il révèle, en contrepoint, des mentalités de l’époque Henri Mouhot a ouvert la voie a d’autres expéditions et donne sans doute des clés d’accès à Auguste Pavie, connu et vénéré dans ces contrées. »

Nicolas Lucas, Historiens & Géographes, juin 2014

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