Juin 40

Juin 40

ou les paradoxes de l’honneur

4,00

"Naufrage, faute tragique, impardonnable défaite, on ne trouve pas de mots ou d’expressions assez désolants, aujourd’hui, pour évoquer les évènements qui, entre le 10 mai et le 25 juin 1940, devaient conduire la France à un abaissement sans précédent.

A la qualité du désastre répondra celle de la reconquête."

Ph. de Saint Robert

9782271070029
Débats
03/06/2010
64
12.0 x 17.0 cm

Philippe de Saint-Robert était l’invité de Louis Daufresne dans la "Matinale" de Radio Notre-Dame, le jeudi 3 juin 2010.

Philippe de Saint-Robert a participé à l’émission "Spécial 18 juin" de Simon Barbarit, sur Public Sénat, le 18 juin 2010.

 

"Selon Saint Robert, il n’y a qu’une maniere d’honorer de Gaulle l’affirmation que la France se doit de perdurer en tant qu’entité à la fois politique, historique et spirituelle."

Paul-François Paoli, Le Figaro littéraire, le 12 juin 2010.

 

"C’est dans un court essai, dense, inspiré et parfois poignant, Juin 40 ou les paradoxes de l’honneur (CNRS Editions) que Philippe de Saint-Robert, gaulliste de toujours, ancien haut-commissaire à la Langue française, tente d’élucider en quoi, durant ces quelques semaines, comme il l’écrit lui-même, "à la qualité du désastre répondra celle de la reconquête.""

Jérôme Leroy, Causeur.fr, le 21 juin 2010.

 

"Dans son essai aux accents romantiques, Saint Robert salue l’élan spirituel du général de Gaulle."

Gilles Brochard, Culturemag.fr, le 11 août 2010

 

"Philippe de Saint-Robert incarne la fidélité à l’héritage gaulliste (celui de 1940, mais aussi de la Ve République). Pourtant, sa brève et passionnante réflexion sur Juin 40 dépasse l’orthodoxie
d’un courant politique."

Benoît Duteurtre, Marianne, le 24 août 2010.

 

"Une remarquable synthèse de la question que tout jeune devrait lire avec profit: sur ce qui a le désastre de juin 40."

Christophe Geffroy, La Nef, n° 217, juillet-août 2010

 

"A réclamer, chez votre libraire habituel. En refermant ces 50 pages écrites d’une main de maître on se sent cultivé… Et plus apte à parler d’événements dont on ne connaît généralement que les grandes lignes."

Arc en ciel, n° 61, 3eme trimestriel 2010

 

"« Je ne suis pas du côte de la gauche, je ne suis pas du côté de la droite, je suis du côté de la France ». II est a craindre qu’on ne le célèbre que pour mieux oublier."

Le Figaro, le 7 octobre 2010

 

"Un essai brillant, à l’heure des commémorations, pour faire oeuvre de mémoire vivante."

34/45 Le Magazine, octobre-novembre 2010

Les médias en parlent